2020 Vector-Borne Infections - Ticks
The community, in fact the entire world, is focused on preventing COVID-19 infections. This has been a tremendous effort by the community to ‘flatten the curve’. As the season progresses, we do need to keep in mind there are other infections spread by black-legged ticks and mosquitos to be mindful of and ensure we protect ourselves and family members. It is worth noting that the US Centers for Disease Control and Prevention has no data to suggest that this new coronavirus or other similar coronaviruses are spread by mosquitoes or ticks. The main way that COVID-19 spreads is from person to person.
While most mosquitoes are just a nuisance, others can pose a health risk as carriers of West Nile virus. Using an insect repellant containing DEET or icaridin, wearing tightly-woven but loose-fitting, light-coloured clothing, long pants and long sleeves, keeping screens in good repair and removing standing water around the home will help you protect yourself and prevent bites. Mosquitoes breed in standing water so eliminate pooled water in the bottom of tire swings, and drill holes in recycling bins and unused planters. These mosquitos like to live in proximity to human habitat so even on your own property outside in your garden or on a porch remember to protect yourself. Take extra care to use repellent and protective clothing from dusk to dawn or consider avoiding outdoor activities during these times.
If you live adjacent to outdoor areas suitable for ticks, for example, wooded areas or areas with tall grasses, or you visit these areas once permissible from COVID-19 restrictions, you need to be aware of the risk of Lyme disease. As you may have heard through media reports, populations of blacklegged ticks that carry Lyme disease are growing and expanding into new areas. This means that the risk of contracting Lyme disease is on the rise across Canada.
Ottawa is considered an at-risk location for ticks that may carry Lyme disease. Tall grasses, bushy, wooded and forested areas are habitats favoured by ticks. The blacklegged tick that is known to carry the bacterium causing Lyme disease is present in the Ottawa area, across Eastern Ontario, and the Outaouais region of Quebec. OPH is monitoring this issue and providing information to residents and physicians to help prevent and reduce Lyme disease-related health risks in our community. OPH has seen an increase in the number of cases of Lyme disease reported in the Ottawa area over time, as well as an increase in the number of cases of Lyme disease likely acquired in the Ottawa area.
Do your best to stay on cleared paths, but if your trek brings you into long grass or forests, apply insect repellant and tuck your pants into your socks (don’t worry - it can be very fashionable these days). Most importantly, perform a “full body” check on
yourself, your children and your pets for ticks. Pay careful attention around toes, knees,groin, armpits and scalp. If you do find a tick on your skin, carefully remove it following instructions available at ottawapublichealth.ca/lyme.
Situations when you should immediately contact your family physician include: flu-like symptoms following a mosquito or tick bite; a bull’s eye type rash after a tick bite; and when a tick has been attached for 24 hours or more, a tick looks partially or fully
engorged, or if you are unsure the length of time the tick has been attached. While there are no antiviral treatments available for COVID-19 or WNV, fortunately Lyme disease is treatable with antibiotics; however, prevention is the best approach with
these, as with all, infectious diseases.
For more info on West Nile virus and Lyme disease, visit ottawapublichealth.ca/westnilevirus or ottawapublichealth.ca/lyme.
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Infections à transmission vectorielle en 2020 — Tiques
Toute l’attention de la collectivité, et même du monde entier, est tournée vers la prévention des cas d’infection par COVID-19. La population a déployé des efforts considérables pour « aplanir la courbe ». Au fil de la saison, nous devons garder à l’esprit qu’il existe d’autres infections, celles transmises par les tiques à pattes noires et les moustiques, dont nous devons nous préoccuper et protéger notre famille et nous-mêmes. Il convient de mentionner que les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis ne disposent d’aucune donnée indiquant que ce nouveau coronavirus, ou d’autres coronavirus de types similaires sont propagés par les moustiques ou les tiques. Le principal mode de transmission de la COVID-19 est d’une personne à une autre.
Bien que la plupart des moustiques ne causent qu’une nuisance, certains peuvent poser un risque pour la santé s’ils sont porteurs du virus du Nil occidental. Pour prévenir les piqûres et vous protéger, appliquez un insectifuge contenant du DEET ou de l’icaridine, portez des vêtements tissés serré, amples et de couleur claire, un pantalon et un chandail à manches longues, gardez les moustiquaires en bon état et éliminez l’eau stagnante autour de votre maison, car c’est là que les moustiques se reproduisent. Videz les pneus servant de balançoire et percez des trous dans les bacs de recyclage et les jardinières inutilisées. Ces moustiques aiment vivre à proximité des humains; par conséquent, n’oubliez pas de vous protéger, même lorsque vous vous trouvez sur votre propriété, dans votre jardin ou sous le porche. Si vous devez sortir à l’aube ou au crépuscule, veillez à utiliser un insectifuge et des vêtements de protection; sinon, envisagez de rester à l’intérieur durant ces périodes.
Si vous vivez près de lieux propices à la présence de tiques, comme les zones boisées ou des étendues de hautes herbes, ou si vous vous promenez dans de tels lieux, lorsque les restrictions liées à la COVID-19 seront levées, vous devez être conscient du risque de contracter la maladie de Lyme. Comme vous l’avez probablement entendu dans des reportages, les populations de tiques à pattes noires porteuses de la maladie de Lyme augmentent et leur territoire s’étend, de sorte que le risque de contracter la maladie s’accroît au pays.
Ottawa est considérée comme une zone à risque pour la maladie de Lyme. Les hautes herbes, les buissons, les boisés et les forêts sont des habitats de choix pour les tiques. La tique à pattes noires porteuse de la bactérie causant la maladie de Lyme est présente dans la région d’Ottawa, dans l’Est de l’Ontario et dans la région de l’Outaouais, au Québec. Santé publique Ottawa (SPO) surveille ce problème et informe les résidents et les médecins afin de prévenir et de réduire les risques pour la santé liés à cette maladie dans notre ville. D’ailleurs, SPO a constaté une augmentation du nombre de cas signalés dans la région d’Ottawa au cours des dernières années, ainsi que du nombre probable d’infections contractées dans la région.
Restez autant que possible sur les sentiers dégagés, mais si votre randonnée vous amène dans les herbes hautes ou dans la forêt, mettez de l’insectifuge et rentrez le bas de vos pantalons dans vos chaussettes (ne vous inquiétez pas, c’est très à la mode ces temps-ci!). Le plus important est d’inspecter toute la surface de votre peau ainsi que celle des enfants et des animaux de compagnie pour vérifier s’il y a des tiques. Portez une attention particulière aux orteils, aux genoux, à l’aine, aux aisselles et au cuir chevelu. Si vous trouvez une tique sur votre peau, retirez-la prudemment en suivant les consignes qui se trouvent sur le site santepubliqueottawa.ca/maladiedelyme.
Dans certains cas, communiquez immédiatement avec votre médecin de famille, par exemple si vous avez des symptômes s’apparentant à ceux de la grippe après vous être fait piquer par un moustique ou une tique, s’il apparaît une éruption à l’aspect d’une cible à la suite d’une piqûre de tique, si vous croyez qu’une tique est restée accrochée à la peau pendant 24 heures ou plus, ou encore si vous ne savez pas combien de temps une tique est restée accrochée et qu’elle est partiellement gonflée. Il n’existe aucun traitement antiviral contre la COVID-19 ou le virus du Nil occidental, mais heureusement, la maladie de Lyme peut être traitée au moyen d’antibiotiques. Cependant, la prévention est la meilleure stratégie à adopter, et ce, contre toutes les maladies infectieuses.
Pour en savoir plus sur le virus du Nil occidental et la maladie de Lyme, consultez les sites santepubliqueottawa.ca/virusduniloccidental et santepubliqueottawa.ca/maladiedelyme.
The community, in fact the entire world, is focused on preventing COVID-19 infections. This has been a tremendous effort by the community to ‘flatten the curve’. As the season progresses, we do need to keep in mind there are other infections spread by black-legged ticks and mosquitos to be mindful of and ensure we protect ourselves and family members. It is worth noting that the US Centers for Disease Control and Prevention has no data to suggest that this new coronavirus or other similar coronaviruses are spread by mosquitoes or ticks. The main way that COVID-19 spreads is from person to person.
While most mosquitoes are just a nuisance, others can pose a health risk as carriers of West Nile virus. Using an insect repellant containing DEET or icaridin, wearing tightly-woven but loose-fitting, light-coloured clothing, long pants and long sleeves, keeping screens in good repair and removing standing water around the home will help you protect yourself and prevent bites. Mosquitoes breed in standing water so eliminate pooled water in the bottom of tire swings, and drill holes in recycling bins and unused planters. These mosquitos like to live in proximity to human habitat so even on your own property outside in your garden or on a porch remember to protect yourself. Take extra care to use repellent and protective clothing from dusk to dawn or consider avoiding outdoor activities during these times.
If you live adjacent to outdoor areas suitable for ticks, for example, wooded areas or areas with tall grasses, or you visit these areas once permissible from COVID-19 restrictions, you need to be aware of the risk of Lyme disease. As you may have heard through media reports, populations of blacklegged ticks that carry Lyme disease are growing and expanding into new areas. This means that the risk of contracting Lyme disease is on the rise across Canada.
Ottawa is considered an at-risk location for ticks that may carry Lyme disease. Tall grasses, bushy, wooded and forested areas are habitats favoured by ticks. The blacklegged tick that is known to carry the bacterium causing Lyme disease is present in the Ottawa area, across Eastern Ontario, and the Outaouais region of Quebec. OPH is monitoring this issue and providing information to residents and physicians to help prevent and reduce Lyme disease-related health risks in our community. OPH has seen an increase in the number of cases of Lyme disease reported in the Ottawa area over time, as well as an increase in the number of cases of Lyme disease likely acquired in the Ottawa area.
Do your best to stay on cleared paths, but if your trek brings you into long grass or forests, apply insect repellant and tuck your pants into your socks (don’t worry - it can be very fashionable these days). Most importantly, perform a “full body” check on
yourself, your children and your pets for ticks. Pay careful attention around toes, knees,groin, armpits and scalp. If you do find a tick on your skin, carefully remove it following instructions available at ottawapublichealth.ca/lyme.
Situations when you should immediately contact your family physician include: flu-like symptoms following a mosquito or tick bite; a bull’s eye type rash after a tick bite; and when a tick has been attached for 24 hours or more, a tick looks partially or fully
engorged, or if you are unsure the length of time the tick has been attached. While there are no antiviral treatments available for COVID-19 or WNV, fortunately Lyme disease is treatable with antibiotics; however, prevention is the best approach with
these, as with all, infectious diseases.
For more info on West Nile virus and Lyme disease, visit ottawapublichealth.ca/westnilevirus or ottawapublichealth.ca/lyme.
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Infections à transmission vectorielle en 2020 — Tiques
Toute l’attention de la collectivité, et même du monde entier, est tournée vers la prévention des cas d’infection par COVID-19. La population a déployé des efforts considérables pour « aplanir la courbe ». Au fil de la saison, nous devons garder à l’esprit qu’il existe d’autres infections, celles transmises par les tiques à pattes noires et les moustiques, dont nous devons nous préoccuper et protéger notre famille et nous-mêmes. Il convient de mentionner que les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis ne disposent d’aucune donnée indiquant que ce nouveau coronavirus, ou d’autres coronavirus de types similaires sont propagés par les moustiques ou les tiques. Le principal mode de transmission de la COVID-19 est d’une personne à une autre.
Bien que la plupart des moustiques ne causent qu’une nuisance, certains peuvent poser un risque pour la santé s’ils sont porteurs du virus du Nil occidental. Pour prévenir les piqûres et vous protéger, appliquez un insectifuge contenant du DEET ou de l’icaridine, portez des vêtements tissés serré, amples et de couleur claire, un pantalon et un chandail à manches longues, gardez les moustiquaires en bon état et éliminez l’eau stagnante autour de votre maison, car c’est là que les moustiques se reproduisent. Videz les pneus servant de balançoire et percez des trous dans les bacs de recyclage et les jardinières inutilisées. Ces moustiques aiment vivre à proximité des humains; par conséquent, n’oubliez pas de vous protéger, même lorsque vous vous trouvez sur votre propriété, dans votre jardin ou sous le porche. Si vous devez sortir à l’aube ou au crépuscule, veillez à utiliser un insectifuge et des vêtements de protection; sinon, envisagez de rester à l’intérieur durant ces périodes.
Si vous vivez près de lieux propices à la présence de tiques, comme les zones boisées ou des étendues de hautes herbes, ou si vous vous promenez dans de tels lieux, lorsque les restrictions liées à la COVID-19 seront levées, vous devez être conscient du risque de contracter la maladie de Lyme. Comme vous l’avez probablement entendu dans des reportages, les populations de tiques à pattes noires porteuses de la maladie de Lyme augmentent et leur territoire s’étend, de sorte que le risque de contracter la maladie s’accroît au pays.
Ottawa est considérée comme une zone à risque pour la maladie de Lyme. Les hautes herbes, les buissons, les boisés et les forêts sont des habitats de choix pour les tiques. La tique à pattes noires porteuse de la bactérie causant la maladie de Lyme est présente dans la région d’Ottawa, dans l’Est de l’Ontario et dans la région de l’Outaouais, au Québec. Santé publique Ottawa (SPO) surveille ce problème et informe les résidents et les médecins afin de prévenir et de réduire les risques pour la santé liés à cette maladie dans notre ville. D’ailleurs, SPO a constaté une augmentation du nombre de cas signalés dans la région d’Ottawa au cours des dernières années, ainsi que du nombre probable d’infections contractées dans la région.
Restez autant que possible sur les sentiers dégagés, mais si votre randonnée vous amène dans les herbes hautes ou dans la forêt, mettez de l’insectifuge et rentrez le bas de vos pantalons dans vos chaussettes (ne vous inquiétez pas, c’est très à la mode ces temps-ci!). Le plus important est d’inspecter toute la surface de votre peau ainsi que celle des enfants et des animaux de compagnie pour vérifier s’il y a des tiques. Portez une attention particulière aux orteils, aux genoux, à l’aine, aux aisselles et au cuir chevelu. Si vous trouvez une tique sur votre peau, retirez-la prudemment en suivant les consignes qui se trouvent sur le site santepubliqueottawa.ca/maladiedelyme.
Dans certains cas, communiquez immédiatement avec votre médecin de famille, par exemple si vous avez des symptômes s’apparentant à ceux de la grippe après vous être fait piquer par un moustique ou une tique, s’il apparaît une éruption à l’aspect d’une cible à la suite d’une piqûre de tique, si vous croyez qu’une tique est restée accrochée à la peau pendant 24 heures ou plus, ou encore si vous ne savez pas combien de temps une tique est restée accrochée et qu’elle est partiellement gonflée. Il n’existe aucun traitement antiviral contre la COVID-19 ou le virus du Nil occidental, mais heureusement, la maladie de Lyme peut être traitée au moyen d’antibiotiques. Cependant, la prévention est la meilleure stratégie à adopter, et ce, contre toutes les maladies infectieuses.
Pour en savoir plus sur le virus du Nil occidental et la maladie de Lyme, consultez les sites santepubliqueottawa.ca/virusduniloccidental et santepubliqueottawa.ca/maladiedelyme.